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  • Nous sommes transis

    Entre les carcasses de cuivre vos babines acerbes astiquent mon ventre en fusion. Ta nuque meurtrie repose désormais dans ma bouche baveuse, comblé du goût métallique de l’effort orgiaque, je décolle patiemment tes couches de derme pellicule par pellicule. l’accumulation des fluides vibrants m’immerge, je perçois ton œsophage qui me conduit progressivement au thorax.
    Ton torse s’ouvre j’entre, fasciné par l’intense couleur de tes dépôts et la tout s’écrase ton flanc s’atrophie, torsion des entrailles L’accumulation de fluides en excès m’immerge, entre les couches, partout, de la plèvre à l’extérieur de ton poumon gisant à mes chevilles enflées.

    Tombe, nos corps replets s’attachent.

    Une myriade de liquides se précipite dans un espace anatomique sans localisation, forgée d’émanations tu m’observes, apaisée soumise aux mastications erratiques des automates. ton corps n’as plus de forme propre il épouse la forme de son contenant.
    Tout se disloque nous ne sommes plus que particules.
  • Bonjour tout le monde !

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